Afrique – Une Poursuite Acharnée Contre Les Cybercriminels [GAY-MEN] Et Les Sacrifices Humains
Afrique – Une Poursuite Acharnée Contre Les Cybercriminels [GAY-MEN] Et Les Sacrifices Humains. Afrique – Les cybercriminels notamment connus sous le nom de Gaymen sont les cibles principales d’une poursuite agressive et récente menée par les forces de l’ordre. Bien qu’ils soit nombreux à exercer ces activités criminelles à travers l’Afrique, les cibles de cette poursuite sont les Gaymen Béninois qui effectuent leurs activités au Togo, en Côte d’Ivoire, au Sénégal et à travers l’Afrique noire.
Afrique – Les cybercriminels notamment connus sous le nom de Gaymen sont les cibles principales d’une poursuite agressive et récente menée par les forces de l’ordre. Bien qu’ils soient nombreux à exercer ces activités criminelles à travers l’Afrique, les cibles de cette poursuite sont les Gaymen Béninois qui effectuent leurs activités au Togo, en Côte d’Ivoire, au Sénégal et à travers l’Afrique noire.
Dans le cadre de l’opération codée “Rambo” lancée par la police de la République du Bénin, plusieurs cybercriminels ont été interpellés grâce à ladite police. D’autres ont subit un sort moins avantageux aux mains de la population qui les ont brûlés, lynchés ou leur ont fait subir d’autres sorts macabres.
L’activité principale de ces Gaymen est centrée autour du crimes spirituels notamment les sacrifices humains. Ce sont des protagonistes très importants car ce sont eux qui fournissent les proies, les victimes, qui sont souvent des enfants et/ou des hommes et des femmes kidnappés qui sont ensuite vidés de leur sang sous les ordres du marabout pour finir en tant que sacrifices humains.
Le profil des cybercriminels est souvent le même, des jeunes hommes âgés entre 20 et 28 ans à la recherche d’ argent facile.
En avril 2018, un réseau d’organes et de squelettes d’enfants a été démantelé au Cameroun. Les deux jeunes cybercriminels ont été lynchés par la foule avant que la police ne puisse intervenir.
L’opération “Rambo“ a été lancée suite à l’augmentation rapide des crimes spirituels. La cybercriminalité relative aux sacrifices humains, au kidnapping d’enfants, est présente à travers toute l’Afrique noire. Les pays les plus touchés sont: la Côte d’Ivoire, le Bénin, le Cameroun, le Sénégal et le Togo.